Mode d'emploi   liens / sources / Remerciements  faq

Retour au menu
faq - Réponses aux 20 questions les plus fréquentes !
 
Posez vos questions et répondez sur notre Forum
Laissez vos impressions sur le Livre d'Or

Réponses aux 20 questions les plus fréquentes !
1- Nous souhaitons réaliser un lien avec votre site Internet.
Aucun soucis !
Voici des exemples de codes à recopier sur votre page :

Lien texte :

<a href="http://sm.coppier.free.fr/additifs">Le guide des additifs alimentaires</a>


Lien graphique :


<a href="http://sm.coppier.free.fr/additifs">
<img src="http://sm.coppier.free.fr/additifs/images/title2.gif" border=0></a>

2- Le dossier du site est il disponible en version Word ?
A ce jour, le site peut être consulté sur le web ou téléchargé au format zip pour consultation à la maison. Dans le second cas, pensez à faire des mises à jour régulièrement (tous les débuts de mois) afin de tenir votre base à jour.

La liste positive des additifs autorisés est consultable sur le site http://www.finances.gouv.fr/DGCCRF/consommation/pointsur/point12_annexes.php3.

3- Est il possible d'avoir une liste des produits du commerce qui présentent des dangers ?
A ce jour nous n'avons pas encore assez d'éléments pour établir une liste à thème. Si vous souhaitez nous transmettre les noms des additifs relevés sur les étiquettes de vos aliments/produits, nous les ajouterons avec plaisir. N'oubliez pas de mentionner le nom et la marque du produit.
En attendant, vous trouverez sur notre site une liste des principaux additifs suspectés d'être dangereux
4- Comment savoir si un additif est admis selon la norme française ?
La France et l'Union Européenne ont adopté le principe de la liste "positive" recensant tous les additifs autorisés dans l'industrie alimentaire et ayant fait l'objet de tests médicaux. Autrement dit : ce qui n'est pas expressément autorisé est interdit.

Vous pouvez consulter la liste officielle sur le site du Ministère de l'économie et des finances.

5- Quel est, selon la norme française, le contenu (%) maximal d'un additif ?

Extrait du texte de loi sur le site du Ministère de l'économie et des finances :

1. Les quantités maximales (....) pour les colorants et les édulcorants se réfèrent aux produits tels que consommés, préparés selon les instructions du fabricant. Ceci implique que les produits concentrés ou en poudre destinés à être consommés après reconstitution portent sur leur étiquetage une information relative au taux de dilution à appliquer afin d’obtenir le produit prêt à consommer.

Pour les additifs autres que les colorants et les édulcorants, les quantités maximales se réfèrent aux produits tels que mis sur le marché, sauf dispositions spécifiques contraires (....) pour les sorbates, benzoates et parahydroxybenzoates (....).

Il peut arriver que des catégories de produits en poudre/concentrés aient été prévues spécifiquement (....). Dans ce cas, les quantités sont exprimées par rapport à ces produits tels que mis sur le marché, indépendamment du taux de dilution à leur appliquer. C’est par exemple le cas des phosphates dans les "mélanges déshydratés prêts à l’emploi pour desserts".

2. Dans certains cas particuliers, les quantités maximales (....) ne sont pas les quantités présentes dans les denrées telles que consommées ou telles que mises sur le marché, mais des quantités ajoutées aux produits lors de leur fabrication. Ces cas sont les suivants :

  • Nitrates/nitrites dans les produits à base de viande, (....) ;
  • Dicarbonate de diméthyle dans les boissons sans alcool ;
  • Acide phosphorique, phosphates et polyphosphates.

3. Dans un nombre restreint de cas, les additifs sont autorisés selon la règle de proportionnalité :

  • BHA, BHT et gallates dans les huiles et graisses animales et végétales ;
  • Acésulfame, aspartame, thaumatine et néohespéridine dans les gommes à mâcher ;
  • Lécithine et mono et diglycérides dans les préparations (....) pour nourrissons en bonne sant/li>
  • Carraghénanes, farine de graines de caroube et gomme guar dans les préparations (....) pour nourrissons en bonne santé.

Cela signifie que lorsque plus d’une de ces substances sont utilisées, les quantités ajoutées doivent être réduites en proportion. (....)

4. Les quantités maximales sont parfois exprimées au total des additifs appartenant à un même groupe, dans une unité déterminée.

(....) la réglementation pour les sulfites, les nitrites/nitrates et les phosphates utilise une unité arbitraire. Les quantités peuvent être calculées à l'aide de tableaux de conversion (ils précisent les facteurs multiplicatifs à appliquer pour exprimer les sulfites en SO2, les phosphates en P2O5, les nitrates en NaNO3 et les nitrites en NaNO2).

6- Les additifs : qu'est-ce-que c'est ?
Extrait de la fiche pratique consommation du Ministère de l'économie et des finances :

Les additifs sont des substances qui, ajoutées en petite quantité, permettent notamment :
- d'aider à la conservation en empêchant la présence et le développement de microorganismes indésirables (par exemple : moisissures ou bactéries responsables d'intoxications alimentaires) : on les appelle conservateurs,
- d'éviter ou de réduire les phénomènes d'oxydation qui provoquent entre autres le rancissement des matières grasses ou le brunissement des fruits et légumes coupés : on les appelle anti-oxygène,
- d'améliorer la présentation ou la tenue, on les appelle agents de texture (émulsifiants, stabilisants, épaississants, gélifiants),
- de rendre aux aliments, de renforcer ou de conférer une coloration : on les appelle colorants ; de renforcer leur goût (exhausteurs de goût).

7- Comment ça a démarré ?

Depuis toujours, l'homme essaie de conserver ses aliments (en salant la viande par exemple). Avec la multiplication des aliments sur le marché et le développement des grandes surfaces, les industriels ont éprouvé le besoin d'ajouter de nouveaux produits dans la nourriture pour la conserver durablement et de la meilleure façon possible en stock (en magasin puis chez soi) sans détériorer son aspect. Cette conservation étant optimale, cela permet au consommateur de faire ses courses de façon hebdomadaire (et non plus quotidiennement comme avant par souci de fraîcheur alimentaire) et d'acheter des aliments venus d'une autre région ou qui ne sont pas de saison...

En résumé, les additifs permettent de conserver les produits, diminuer les coûts, cacher les défauts en améliorant l'aspect, le goût, l'odeur et surtout de vendre plus !
8- D'où vient le problème ?
Extrait de la fiche pratique consommation du Ministère de l'économie et des finances :
Un nouvel additif ne peut être utilisé qu'après :
- avis de la Commission de technologie alimentaire, de l'Académie nationale de médecine et du Conseil supérieur d'hygiène publique de France, au plan national ;
- avis du Comité scientifique de l'alimentation humaine, au plan communautaire ;
- qu'un arrêté d'autorisation, co-signé par les ministres chargés de l'économie, de la santé, de l'agriculture et de l'industrie, en précise les modalités d'emploi (doses et produits dans lesquels il peut être employé).
Oui mais...
- La dose maximale est calculée par kilo de poids corporel : si vous avez une fringale, la dose est explosée (les américains dépassent 23 fois la dose maximale journalière d'aspartame !). Le calcul est basé sur le poids moyen d'une vie entière : les enfants en bas âge ne sont-ils pas surexposés ?
- La dose maximale peut être atteinte avec un aliment de votre repas. Que se passe- t'il si un autre aliment contient le même additif ? Quel est le délai d'évacuation de l'organisme pour ces substances ?
- Plusieurs additifs sont interdits dans d'autres pays car suspectés d'être cancérigènes. Sont-ils plus sains chez nous ?
- Omission d'information : il n'y a aucune obligation de déclarer la présence d'OGM dans les additifs.
9- Comment résoudre ces problèmes ?
Aujourd'hui, les additifs font partie intégrante de notre société de consommation et il ne serait pas concevable de les supprimer parce que quelques-uns d'entre-eux sont soupçonnés d'être dangereux...
On peut cependant éviter au maximum les produits contenant ces additifs nocifs. La généralisation d'une telle attitude inciterait les fabricants à utiliser d'autres additifs, certes moins bon marché, mais aux propriétés équivalentes et sans aucun danger pour le consommateur.
10- Quels sont les risques pour les hommes ?
Ici, tout est question de constitution. Certaines personnes réagiront fortement alors que d'autres n'éprouveront aucun effet secondaire... Les effets courants sont des maux de tête et une digestion laborieuse, parfois des allergies et des réactions cutanées. A noter que quelques-uns d'entre-eux ont des effets cancérigènes, mutagènes ou génotoxiques.
Consulter notre aperçu sur la page des produits dangereux (liste non exhaustive).
11- Quelle est la signification exacte de la lettre E précédant le numéro des additifs alimentaires ?
La lettre E (pour Europe) suivie d'un numéro à 3 ou 4 chiffres, constitue le code d'un additif alimentaire. Ce code indique qu'un additif a été autorisé selon la procédure d'évaluation imposée par la Commission européenne.
12- Certaines marques ne précisent plus le composant en commençant par Exxx, est-ce légal ?
Les additifs figurent obligatoirement dans la liste des ingrédients. Ils sont indiqués :
- soit en clair (par exemple : "Agar-agar"),
- soit à l'aide d'un code précédé du nom de la catégorie (par exemple : "colorant E 123").

C'est donc bien légal.

Pour plus de détail, vous pouvez consultez la fiche pratique consommation du Ministère de l'économie et des finances.

13- Existe t'il une liste pour les produits de beauté et les médicaments
Nous n'avons que très peu d'informations à ce jour sur les additifs utilisés dans les produits cosmétiques ; les fabricants perdraient une bonne partie de leur image de "créateurs de rêves" si une telle liste était publique. Cependant, le défi est assez intéressant pour pouvoir être abordé dans les mois à venir...
A notre grand regret, nous n'avons pas trouvé de site développant ce sujet.
Les médicaments apparaissent désormais avec le logo .
14- Y-a-t'il des additifs contenant des OGM ?
Oui, c'est possible (mais pas systématique).

Il est obligatoire de mentionner la présence d'OGM si la quantité de produit utilisé dans l'additif dépasse 1%.
Les additifs les plus sensibles sont les lécithines que l'on trouve dans 75% des produits alimentaires vendus en supermarché...

La lécithine (E 322) est une substance extraite du soja, du tournesol et du colza (et par conséquent, leurs variétés transgéniques). Il s'agit d'un émulsifiant (permet ou facilite la fine dispersion de deux ou de plusieurs phases non miscibles).

Greenpeace a mis en place un site qui liste les marques/produits inoffensifs et ceux à risque : http://www.greenpeace.fr/detectivesOGM/guide.php3.

15- Quelles sont vos sources ?
La liste des sources est en cours de rédaction dans la rubrique Liens / sources des additifs alimentaires.
16- Comment les additifs sont-ils fabriqués ?
réponse en cours...
17- Sont-ils présents dans toute l'alimentation ?
réponse en cours...
18- "corps gras alimentaire" (ex: E471) : peut-il s'agir de matière grasse animale ?
A cet instant, nous ne possédons pas assez d'informations pour donner une réponse précise.
A priori, les beurres et les graisses animales sont vendus à l'état pur et ne devraient donc pas apparaître sous la forme d'additif alimentaire.

Par contre, d'autres produits très répandus sont issus de graisses animales. A titre d'exemple, les rouges à lèvres et la plupart des bonbons sont fabriqués à partir de gélatine colorée, acidifiée puis sucrée. Autrefois extraite de tissus bovins, la gélatine serait aujourd'hui obtenue exclusivement à base de porc (selon les dires des fabricants) en raisons des récents problèmes liés à la vache folle.
19- Où peut on acheter des colorants alimentaires.
Après prise de renseignements, il apparaît que la méthode la plus simple (et la moins onéreuse) pour vous est de demander à votre boulanger/pâtissier. En effet, de nombreux colorants sont utilisés pour décorer les pâtes d'amandes et autres garnitures...

 

message du Livre d'Or n°49-ml wiener- 14-11-2000 22:51:40
Bonjour, je suis l'heureuse maman d'une petite fille hélas asthmatique et allergique a certains colorants -tests en cours- juste une petite info pour vous-même un particulier peut se procurer au détail ces fameux colorants, il suffit d'habiter Paris ! chez G.DETOUT... juré ce n'est pas une blague! 58 Tiquetonne tel:01.42.36.54.67
pour le site, bravo et merci....je ne suis pas une pro du web... j'étais juste en quête d infos... merci pour tous ceux que le "progrès" rend malade!!
20- Faut-il manger Bio pour éviter les additifs ?
Le label Bio signifie 'naturel à 95%', ce qui laisse encore 5% pour rajouter des additifs...
Vocabulaire
Antimottant
Quelques bons synonymes : anti-agglomérant, anti-agglutinant.
On utilise un antimottant pour combattre, notamment, l'action de l'humidité qui tend à agglutiner des produits en poudre.
Dans les produits de consommation courante, on trouve des antimottants dans les soupes déshydratées.

Quelques exemples d'additifs aux propriétés antimottantes :
E 341, E 421, E 460, E 470, E 504, E 530, E 535, E 536, E 537, E 542, la série des E 550...

Carraghénane
La carraghénane E 407 est naturelle. Elle est extraite d'une algue marine de couleur rose (famille des rhodophycées). On la retrouve surtout dans les glaces afin d'éviter la formation de cristaux de glace, mais aussi dans crèmes desserts et les laits aromatisés. Elle est inoffensive dans les quantités d'utilisation actuelle.
D&C
Drugs & Cosmetics : Dénomination des additifs non alimentaires aux États-Unis.
FD&C
Food, Drugs & Cosmetics : Dénomination des additifs alimentaires aux États-Unis.
Glycérol
Glycérol est l'autre nom (rarement utilisé) de la glycérine qui est effectivement un alcool.
 
Posez vos questions et répondez sur notre Forum

Réponses aux 20 questions les plus fréquentes !
Aller au sommet de la page Retour au menuAller au sommet de la page
Webmaster : Loric - sm.coppier.free.fr - Les marques qui apparaissent dans les textes de ce site appartiennent à leurs propriétaires respectifs.